Compte-Rendu de l'A.G. du 12/11/2011

Assemblée Générale Cyclo-Club Poey-de-Lescar
 
12 novembre 2011

Pour les 67 adhérents du Cyclo-Club de Poey-de-Lescar la saison 2011 s’achève. Certains changeront d’activité durant la période hivernale, d’autres continueront de rouler, sur les routes ou sur les chemins.
La plupart seront présents pour une nouvelle saison à partir du 5 février prochain.

Ceux que la maladie ou les accidents auront tenus éloignés des guidons seront proches de nos cœurs. 

Répartis en trois groupes, ces 67 cyclos, dont 13 femmes pleines d’énergie et de projets, ont parcouru les splendides paysages du Béarn chaque dimanche, mais aussi le mercredi, le long des gaves et des plaines, à travers coteaux et vignobles.

La moitié d’entre eux ont découvert les routes des châteaux cathares de l’Aude lors d’un séjour à Tuchan pour la Pentecôte, et en gardent un souvenir ensoleillé.

D’autres ont représenté le club à la Semaine Fédérale qui cette année se déroulait en août en Normandie.

A la belle saison, ceux du groupe des « montagnards » ont pris leur envol sur les pentes d’Ibardin, de Marie-Blanque, Soulor, Aubisque, Tourmalet, Boucharo, mais aussi du Port de Balès côté Comminges, d’Ispegui ou Otxondo côté Espagne, et répondu à l’ « Appel des Pyrénées » à Grust.

Tous ont participé aux randonnées de la Ligue d’Aquitaine, d’Anglet à Arzacq, d’Ousse à Monein, de Jurançon à Biarritz, et pique-niqué au bord du lac de Biron à l’occasion de la randonnée Gaston Phébus d’Orthez.

En 2012, une équipe en partie renouvelée accompagnera la destinée de notre club.
La constitution d’une section VTT semble en bonne voie, et pourrait l’enrichir d’un sang vif.  
Le principal temps fort sera l’organisation de l’Ouverture de la saison de la ligue d’Aquitaine conjointement à celle du comité départemental des Pyrénées-Atlantiques le 4 mars.

Nul ne doute que par leur diversité, leur générosité et leur goût de la convivialité, les membres du CCPL sauront réunir leurs forces et leurs talents pour mener à bien leurs projets une nouvelle fois.

Yves Coupel.